Bonjour, Amaury.
Je raconte cela dans un article intitulé « Lolo, roi du pinceau ! » pour lequel j’ai un lien dans un comentaire en début de ce fil.
Il ne s’agissait pas de se moquer des impressionnistes mais plutôt de démontrer que les organisateurs du Salon des Indépendants ne faisaient pas la différence entre une oeuvre de qualité et une croûte, en l’occurence peinte par un âne. Et de fait, le « Coucher de soleil sur l’Adriatique » peint par un Boronali à longues oreilles est très vite devenu le tableau le plus admiré du Salon avant d’être vendu plusieurs fois très cher.
Cordialement.