@ Fergus, Wesson, Daniel,
Bonjour, et...meilleurs voeux à chacun.
Le constat est fort simple :
-d’un côté , une ambiance de fin de règne à la Aguirre, le conquistador dérivant seul sur son radeau à la surface d’un fleuve perdu, quelque part en Amazonie, en proie à des hallucinations et à un déni de réalité face à un projet fracassé.
- de l’autre, une ambiance de kermesse dans laquelle on confond énergie et gélatine et où la vedette du jour mesure l’écho de sa voix « puisque tout va changer, n’est-ce pas ? »
On hésite entre l’eau tiède, le sucré-salé, le mi-chair, mi-poisson.I
Il est regrettable que le cadenassage des 500 signatures empêche la survenance d’une énergie neuve, pugnace, énergique, ouverte sur le XXIè siècle et l’optimisme et non pas sur les vestiges du crépuscule.
Bien à vous,
Renaud Bouchard