Article intéressant et qui soulève une question réelle.
On savait que l’Eurogroup ne cherchait pas à venir en aide aux Grecs mais aux banques débitrices de la Grèce.
Devant l’obstination du gouvernement Grec à ne payer les banquiers qu’après les dépenses de fonctionnement de leur état, le couple franco- allemand semble perdre son sang froid.
La situation ne durera pas.
La demande de l’eurogroupe qui consiste à exiger la signature de tous les chefs de partis grecs pour annuler les effets d’un changement de majorité lors des élections de mars est irréaliste.
L’Eurogroup est soit utopiste soit cynique et cherche à pousser les Grecs a prendre l’initiative de la rupture.
Mais les craquement se font entendre aussi en Irlande, en Autriche, en Hongrie, au Portugal...
La situation italienne n’est pas rayonnante et en belgique non plus ça neva pas fort.
L’eurogroup à tord de jouer les intransigeants. L’euro est en train de se fissurer de partout.