Alors courage parce que ça va être dur.
ouais, et pas qu’un peu
tout le monde connait l’adage, il est facile de se laisser glisser et griser, il est très dur et pénible de remonter la pente.
On pourrait aussi parler de cigales et de fourmis, etc..
car il n’y a guère d’alternatives.
soit on accepte l’aide aux conditions draconiennes des partenaires européens qui se sont faits grugés(et vous et moi également au passage, nous allons tous payer la petite fiesta grecque)
soit on fait défaut, on sort de l’euro, le drachme fraîchement imprimé vaudra autant que le papier support, et la Grèce sombrera dans une misère noire, bien pire que la petite cure de bonne gouvernance exigée par les « banquiers »
mais tout cela fait partie d’un complot évidemment...