Sympathique délire matinal auquel j’adhère et partage l’idée
générale. Comme la majorité nous essayons de nous en sortir comme l’on peut,
zigzaguant entre les gouttes tout en espérant que les idiots sanglés dans leur
moral et leurs conseils à deux balles nous oublient. Merci de ses quelques
lignes de lucide fraîcheur, tout comme vous, après l’incroyable nouvelle annonçant
que le malade qui nous gouverne compte remettre le couvert, je crie : « Virez
moi et entartez moi ce con à talonnette ! »