Il n’y a pas d’échelle dans l’horreur.
Même si vous avez raison quand au traitement de l’information par nos médias, il me semble toutefois que la faim dans le monde fait parfois les gros titres. Dernièrement, il s’agissait de la famine en Somalie.
A partir du moment où l’on fait des catégories, on interdit à certains êtres vivants le respect qui leur incombe, et l’on ouvre la porte à l’horreur que vivent actuellement des milliers d’hommes, de femmes et d’enfants, ainsi que de millions d’animaux.
Si la faim dans le monde vous révulse, c’est un sentiment noble, pourquoi ne pas agir ? Donner aux associations ou, mieux, venir les aider sur le terrain ?