Plutôt que de suggérer de nouvelles (vaines) censures, pourquoi ne pas s’attaquer à la racine : l’absence dialogue sur ce sujet, le flou total où on laisse les jeunes, bien qu’on en parle théoriquement dès l’école primaire, les tabous religieux ou moraux que remorquent la majorité des adultes, l’hypocrisie des médias et des publicitaires sur ce sujet.
Le problème n’est pas que les ados voient du porno, le problème est que c’est leur seule source d’information sur ce sujet.