On est à la limite de la mythomanie, je trouve.
Je crains que la limite ait été largement dépassée, malheureusement.
L’auteur est persuadé être victime d’une répression concertée de tout le monde, état, banques, médias etc.
La façon dont il vous accuse d’en être aussi montre qu’il ne s’agit plus d’un problème de création étouffée, ce que c’était peut être au départ, mais d’un problème de paranoïa.