Quelle audace attendre d’un candidat n’allant pas au-delà de la pâle imitation d’un autre François ? Il y met pourtant de la bonne volonté. Les intonations, les postures, le regard. Tout y est ou presque. Quant au contenu, là il semble avoir moins de mal. Rien de nouveau depuis 81. Toujours les mêmes revendications. Pas fort pour un « progressiste » et à croire qu’en une vingtaine d’année de pouvoir le PS n’a pas beaucoup fait progresser ses idées, sauf à créer le bourbier dont nous avons maintenant tant de mal à nous extraire.
Il n’est pas possible que les moins sensés des électeurs ne s’en rendent pas compte.