Cette situation des minorités russophones apatrides dans les pays baltes (qui n’ont pas bénéficié de la nationalité lors de l’indépendance, pour cause de changement de langue nationale), est une violation clair de la charte de l’ONU, de la charte des droits de l’homme et des texte européens. Qu’une telle situation ne provoque aucune réaction est incompréhensible.