Cet article a été écrit avant hier soir 20H00.
Comment le sait-on ? Il ne contient aucune référence aux cris de triomphe braillés par les politiciens et les journalistes des médias dominants qui se félicitent d’avoir « sauvé la Grèce » pile le jour où celle-ci fait défaut sur sa dette (pardon, où elle la « restructure »).
Le pire, c’est qu’à en juger par les réactions des internautes ça marche. Prenons-nous pour des cons, on en redemande.