Même si la question (et les réponses mesurées qui sont apportées) sont intéressantes, car elles nous font réfléchir, au final ce qui ressort de cet article est que l’écologie ne peut être accaparée par quelque camp que ce soit.
Et d’ailleurs, comme pour de nombreuses autres questions qui se posent à la France et à l’humanité dans son ensemble, il ne faudrait surtout pas que l’écologie s’affiche (d’un côté ou de l’autre) de façon radicale (comme c’est encore malheureusement le cas dans notre pays).
En effet, face aux maux (tous d’origine anthropique, précisons le...) qui accablent notre espèce (
surpopulation, réchauffement climatique, pénurie des énergies fossiles et des métaux, raréfaction de l’eau douce, extinction de la biodiversité, et j’en passe), il est évident que pour s’en sortir (si c’est encore possible), un rassemblement majoritaire (et donc au delà des clivages politiques) s’impose.