Pauvres artistes entre patrons et populace.
Ils ont servi de « cheval de troie » pour investir le Net.
Ils ont servi de marionnettes pour distraire la population tandis qu’on lui faisait les poches.
Ils ont servi de cible à la réaction des mécontents.
Et le pire : On s’en prend aujourd’hui à leur utilité dans notre société en les boycottant.
Et avec leurs habitudes serviles, ils continuent de cirer les pompes des puissants au lieu de se joindre au peuple pour une révolution en chantant.
Pas grave. Les artistes de demain, avec j’espère une meilleure éthique non contaminée par la vénalité, sont parmis nous. On peut donc « accélérer » la disparition des dinosaures et de leurs parasites...
Ca, ça s’appelle la « radicalisation du débat ». C’est ce qui se passe quand on ne tient pas compte des avertissements précurseurs d’une explosion de ras le bol