le naufrage du Crédit Lyonnais avait coûté entre 8 et 8,5 milliards d’euros aux contribuables français
En l’occurence, et comme partout, la dette abyssale a tout à voir avec la stratégie patronale employée à l’époque.
Qui a enfoncé tous les français par la grâce du dicton qui sert de finalité à nos amis grands patrons : privatisons les profits et socialisons les pertes.
Que l’on fasse, aujourd’hui, grief aux syndicats de porter sur la place publique les difficultés des salariés, qui ont affaire à une direction dont le comportement n’a eut aucune raison de s’écarter de cette rapacité égoïstes qui nous ruina, me semble la marque d’un aveuglement total.
Ou d’une mauvaise foi pas assez puissante pour être vraiment mauvaise...