Les débats dans ce genre d’affaire étant à huis clos, nous ne sommes pas en situation de connaître exactement les faits.
Le titre « violeur mais libre » préjuge sans doute des conclusions de l’enquête.
Ce que je puis dire, c’est que les maîtres qui abusent des enfants - cela va de l’attouchement équivoque au viol - n’ont la complaisance ni de leurs collègues ni de la hiérarchie. Des affaires de ce genre ont pu être étouffées par le passé, ce qui sera à jamais regrettable. Cela fait un bon demi-siècle que cela ne se produit plus.
Je comprends l’envie que l’on peut avoir de faire subir aux prédateurs d’enfants une ablation in vivo des génitoires avec un sécateur rouillé et ébréché, mais ce n’est pas une bonne idée. La Justice passera, et pour l’apaisement des souffrances des enfants et de leurs familles, le plus tôt sera le mieux.