Décidément Morice, vous ne savez pas faire court. Je ne
parlerai pas de la lourdeur du style, d’autres l’ont déjà fait, ni du
fond, mais simplement de la concision.
Un des qualités principales
d’un journaliste digne de ce nom c’est la capacité à faire un tenir un
récit ou une argumentation complet(e) et cohérent(e) dans un minimum de
place, ce sans trahir les faits et dans la mesure du possible
l’objectivité que (devrait) demander la fonction.
Ce reproche peut d’autant plus s’appliquer à votre cas quand on voit que dans votre
profil vous vous targuez d’avoir été journaliste, rappelez vous donc
quand vous deviez tout faire rentrer dans 2 colonnes.
De nombreuses fois, je commence un de vos articles, le sujet étant
potentiellement intéressant, mais rapidement quand je vois la longueur
de l’article et surtout votre manière de tout délayer , j’abandonne.
D’ailleurs, au vu des quantités de prose déchargées sur AV, on peut
se demander s’il n’y a qu’une personne derrière ce pseudo (si c’est le
cas alors c’est une personne qui ne fait que cela). Malheureusement la
quantité ne fait pas la qualité.
On peut également se poser la question de la modération sur AV et sur
le comité de rédaction quand on sait que le motif « article trop long »
fait partie des motifs de refus. Mais bon les règles de publication sur
AV sont un débat récurrent.
Allez essayez de faire plus court, rappelez vous les résumé/discussions de quand vous étiez professeur ou élève.
Ah au fait, autre sujet complètement différent, dans votre profil,
vous mettez en avant le titre de PEGC, comme celui de professeur des
collèges, ce qui est exact, mais il serait bon de rappeler que les PEGC
ont principalement été créés pour pallier au manque de professeurs
certifiés (ayant donc passé le CAPES) en recrutant des personnels
n’ayant pas passé le concours mais pouvant justifier d’une expérience
professionnelle en rapport avec la matière à enseigner. Les PEGC
enseignaient d’ailleurs généralement deux matières sans rapport l’une
avec l’autre (par ex. Math et Espagnol) ce qui est un pur non sens.
Beaucoup
d’enseignants se sont battus à l’époque contre ce statut qui amenait
une baisse du niveau de l’enseignement, tout en exploitant des personnes
en leur faisant faire le même travail (voire plus) que les professeurs
certifiés et en les payant moins. Dans mes souvenirs de collège, les
profs à 2 matières (ce qui était le moyen de les répérer) étaient les
boulets de l’établissement.
Le vrai diplôme de professeur de collège c’est le CAPES pas autre chose.
Maintenant il est clair qu’il y a bien évidemment eu de très bons
PEGC et de très mauvais « Capessiens » mais le statut lui même était un
non sens.