Certes, il ne faut pas se laisser aveugler par l’idée de nation.
Il faut prendre le bon, et laisser le reste.
Mais en tant que dénominateur commun dans un espace géographique et historique, je pense que la nation est actuellement le meilleur instrument pour résister à la dérive mondialo-financière, accompagnée de saines relations coopératives avec les autres nations.