Bonjour, La râleuse.
Merci pour votre commentaire.
J’aime beaucoup, moi aussi, Suzanne et les vieillards. Vous avez raison, Artemisia effrayait sans doute ces messieurs par son caractère et sa farouche volonté d’indépendance. Qui plus est, au risque de vivre moins bien de sa peinture, elle avait fait le choix de ne pas se laisser enfermer dans les portraits rémunérateurs de la noblesse et des cardinaux comme ses consoeurs, donnant notamment libre cours à sa prédilection pour les sujets bibliques, et en particulier pour des héroïnes comme Judith et Suzanne.
Cordialement.