Personnellement, j’aurais pris les « forces de l’ordre » pour des vespasiennes.
Après bien sûr leur avoir poliment demandé de sortir pour me soulager la vessie, je serais passé à l’acte.
Quitte à être séquestré, autant que ce soit pour une bonne raison.
Ensuite, devant les juges, nous aurions pu régler nos comptes concernant cette détention abusive justifiant mon acte désespéré et mon souci de respecter la loi (il est interdit de se soulager contre les murs)...
C’est étrange mais je suis certain que le parquet aurait classé l’affaire sans suites AVANT d’en recourir à la justice.