Vivacuba !
Avant-hier encore, vous m’accusiez de n’avoir jamais foutu les pieds là-bas.
Aujourd’hui, vous me traitez d’être lamentable, de gùsano dit-on sur l’île du bonheur insoutenable.
Demain, ce sera quoi ?
La réponse, je la laisse à Fidel lorsqu’on lui a demandé ce qu’il comptait faire des 80 pour cent de Cubains qui, dégoûtés par l’exemple de leurs bien-aimés charognards de dirigeants, ont abandonné le Parti . Je cite :
« Je ne peux quand même pas les faire tous fusiller ! »
Heureusement que vous n’êtes pas au pouvoir, mon cher ange !