Excellent !
Pour poursuivre sur le même thème je conseille la lecture :
« L’éloge de la fuite » par Henri Laborit, neurobiologiste et philosophe, (aussi auteur de Mon oncle d’Amérique) :
" Se révolter, c’est courir à sa perte, car la révolte, si elle se
réalise en groupe, retrouve aussitôt une échelle hiérarchique de
soumission à l’intérieur du groupe, et la révolte, seule, aboutit
rapidement à la soumission du révolté... Il ne reste plus que la fuite. "
Henri Laborit pose, à la lumière des découvertes biologiques, la
question de notre libre arbitre, de notre personnalité même. La
politique, la société, tout prend dès lors une autre dimension.