Au sujet de François Hollande, un homme d’une tout autre envergure que son grotesque prédécesseur, il n’y a plus qu’une question : malgré sa culture européiste, sa profonde bienveillance et son goût des évolutions paisibles - rien qui ne soit criticable, sauf en temps de guerre - s’apercevra-t-il qu’il est face à l’Allemagne confronté à un choix très simple ?
La tentation de Montoire, ou l’Appel du 18 juin.