« Ce ne sont pas les »ismes« qui sont à remplacer, mais l’homme qui est à réformer. »
En fait, c’est à chaque personne de changer, de prendre conscience. Si on dit « l’Homme est à réformer », alors c’est à marche forcée et c’est du réformisme... On retombe donc dans les -ismes et ça reste grave, même si ça part d’une bonne intention.