Jean !
Falorni a été désigné par les militants socialistes et Ségolène Royal en s’appuyant sur l’appareil national est arrivé là avec un parachute.
Il est totalement compréhensible que le sans grade se soit quelque peu révolté...Quant au deuxième tour, n’ayant aucun danger à droite, je trouve que l’attitude de Falorni compréhensible.
Ceci étant précisé, mon propos dans l’article est de fustiger l’attitude de Ségolène Royal vis à vis de son concurrent victorieux qui bdevient pestiféré ! curieuse méthode républicaine et surtout socialiste !