Sarkozy a balancé entre la gauche qu’il a très largement associé au gouvernement dès le début de son mandat puis il y a eu la « droitisation » avec la reprise des thèmes anti-immigrations. Mais plus de traces de la rupture annoncée, pas d’espace pour les rares voix libérales. Première raison de son échec.
La deuxième est dans son incapacité à résister à la violence des intellectuels de gauche et d’extrême-gauche relayé par la caste médiatico-politicienne.
Il y a bien sûr une part de vérité à gauche mais il y a longtemps que la gauche n’agit plus par la persuasion mais par la peur qu’elle inspire et l’auto-censure obligatoire de ceux qui ne pensent pas comme eux.
C’est celui-ci son échec fondamental.