Car le vice européen est là : il est impossible de fait ou de droit pour
l’UE de mener des politiques qui ne soient pas toujours plus
libre-échangistes, toujours plus délégatrices, toujours déflationnistes,
toujours opposées à un quelconque contrôle des capitaux, à une
quelconque intervention publique.
Le problème c’est la commission de Bruxelles avec son recrutement opaque et antidémocratique