très intéressant cet article. aujourd’hui les militaires prennent de la méthamphétamines pour etre plus alerte et pour inhiber la peur a minima,les exemples en afghanistan ne manquent pas. le problème de la met (que je connais pour en avoir fumé en asie),c’est le manque de discernement qui peut suivre selon les doses absorbées,ce qui a conduit a ce qu’on appelle des « tirs amis » sur des théâtres d’opérations. l’idéal,pour avoir des performances de combats optimales,serait d’inhiber la peur et de démultiplier l’agressivité des sujets ( l’agressivité inhibant elle même toutes considérations morales qui n’ont pas de place sur un champs de bataille) avec une molécule de synthèse.