Gilles Kepel, cité dans l’article, était mieux inspiré lorsqu’il rédigeait son livre « la revanche de Dieu » en 1990. Il le concluait ainsi : « A moyen terme, c’est une logique de conflit que porte le développement en parallèle de mouvements religieux qui ont pour ambition de reconquérir le monde. Conflit, guerre entre des »croyants« qui font de la réaffirmation de leur identité religieuse le critère de Vérités aussi exclusives que particulières. »