Bien d’accord avec vous sur le cas Chirac, qui n’est qu’un exemple parmis tant d’autres. Mais de la à dire que les technocrates tiennent compte de l’intérêt général, il y a un monde .
Si les politiques ne pensent qu’à leurs réelections, les technocrates se comportent comme des vulgaires liquidateurs judiciaires, appliquant le principe tant aimé de nos chers banquiers et oligarques financiers : privatisation des bénéfices, et mutualisation (par l’Etat donc par nous) des pertes.
Bref la situation parait bien bloquée, et se finira sans doute très mal pour les responsables, politiques et technocrates, qui ne sentent pas l’odeur de souffre arriver à leurs naseaux...