« Ce que vous dîtes est assez contradictoire... »
C’est sa marque de fabrique. Rako n’est jamais avare de contradictions quand il s’agit de défendre son ex-amoureux, l’abominable Sarkozy, l’abject président-dégagé-perquisitionné. D’ailleurs, si le nain avait été anthropophage, il aurait certainement rédigé un article sur la cuisson des êtres humains tout en trouvant le moyen de dire du mal de Hollande.
Mais soyons indulgent, Rako est toujours sous le choc de la disparition de sa vedette préférée ; un peu comme ces fans bébêtes de Michael Jackson ou de Claude François, plongés en plein déni de réalité, refusant d’accepter la mort de leur idole, et qui broient du noir.