Mr Colette,
je veux bien accepter vos explications, mais c’est tout juste. Dans nos écrits sur Agoravox, nous développons des conceptions différentes sur le sort de notre pays et, dans certains de vos billets précédents, vous avez nié le caractère outrageusement fasciste de la N-Va en en la présentant comme parti populiste de droite. Votre présente réponse à mon intervention démontre que vous commencez à comprendre à quel point ce parti est dangereux pour la démocratie.
Je finirai donc par un constat qui, au moins, nous est commun : joyeuse fête nationale du pays qui n’existe plus