Sans avoir tout lu du papier de François Asselineau, je pense qu’il a raison de voir dans la dégradation de la note de l’Allemagne et des Pays-Bas et le maintien corrélatif de celle de la Finlande, qui elle n’appartient pas à la zone euro, un signe précurseur de l’échec du MES et de la probable sortie de la Grèce de la zone.
Nous verrons bien alors si, comme le prétendait François Asselineau, la sortie de l’euro de la Grèce entraînera la sortie de ce pays de l’UE...