La « répartition » ne peut fonctionner qu’à condition qu’il y ait plus de cotisants que de bénéficiaires.
Or nous ne sommes plus du tout dans ce cas de figure.
La chaine de Ponzi s’effondre.
Et plutot que de prendre des mesures pour anticiper l’effondrement, rien n’est fait : on ne touche à rien, on ne modifie rien. Tout ca pour préserver les échéances électorales.
Le système actuel va conduire à l’émergence d’une génération de « cocus » : ce sont ceux qui vont cotiser toute leur vie, et de plus en plus, pour alimenter le système, mais qui n’auront droit à rien au final, parce que quand viendra leur tour il n’y aura personne pour cotiser.
Mais bon d’ici là... ca doit faire 4 élections présidentielles autant de législatives... y’a bien le temps de voir...