« Bruel a bien le droit de défendre sa chanson et d’interdire son utilisation... »
Pas s’il la vend. Si je me débarrasse de ma bagnole chrome métallisée Star-Trek, je ne peux pas interdire au gars qui l’a acheté de la repeindre en rose bonbon. Et ne me parle pas d’un prétendu droit patrimonial privé de la chansonnette. Le premier milliardaire venu qui s’achète le « Bal du moulin de la Galette » de Renoir serait en droit d’en faire des confettis ou de chier dessus si bon lui semble. Alors Bruel...
Ce machin de droit patrimonial privé est surtout une astuce pour s’en foutre plein les poches. C’est le droit public qui doit primer.