Ici, oui, il y a des raisons de se battre. Plus que pour le traité européen ou il n’y a rien à faire, mais qui passionne plus le front de gauche. Pour le moment, ce que l’on sait des projets gouvernementaux, c’est une hausse générale, mais pas nécessairement suffisante pour assurer la pérennité de l’entreprise à long terme, assortie de quelques miettes apparentes aux pauvres pour faire passer de nouveaux avantages à son cœur de cible électoral. Le tout ficelé de telle façon que personne n’y comprend rien et que même le résultat prévu n’est pas sur d’être atteint. Défense d’intérêt catégoriels, indifférence aux pauvres, incompétence, insulte à l’avenir. Pratiquement un cas d’école des démarche de ce nouveau gouvernement.