La question de la création monétaire est une question d’importance mais avec cet anglage juridico-complotiste, on occulte le vrai débat qui est que nous vivons (à tous points de vue) au-dessus de nos moyens : nous mangeons trop, brûlons trop de pétrole, absorbons trop de médicaments, réclamons trop de services publics et d’assistance en tous genre. Tant que nos egos ne s’épanouiront que par la propriété et la consommation, nous continuerons à danser au bout de la ficelle,