@ l’auteur. Les méthylations sont connues depuis longtemps. Ce qui est difficile c’est d’apprécier leur impact.
Le développement du cortex prolongé dans la lignée humaine a été vue comme une forme de néoténie : l’enfant humain reste plus longtemps dans le stade d’accroissement du cerveau et ce développement post-natal prolongé permet une meilleure relation à l’environnement, dont font partie les autres humains, les parents. Cette description cadrerait avec une moindre méthylation ou tout au moins une méthylation retardée, en relation avec une phase « adulte » retardée.
Je suis donc prêt à vous suivre sur une certaine implication des modifications de l’ADN dans la mise en place d’un hominidé à fonctions cognitives plus étendues.