M’est avis que personne ne sait ce qu’il faut faire. Et c’est bien ça le problême.
Ni la financiarisation des entreprises, ni les banques, ni le chacun pour soi, ni les mentalités, ni le millefeuille administratif, réglementaire et gouvernemental, ni ceux qui profitent des rentes de situation, ni ceux qui sont écoeurés du bazar ambiant, ni notre inféodation à l’OMC, ni les bénéficiaires de subventions peu justifiables, ni les corporations, associations, lobbyistes de tous poils, ni, ni, ..... ne veulent lâcher leurs prérogatives.
Le naufrage est annoncé, et personne ne sait quoi faire.
Et je suis optimiste.