Bonjour,
Dans l’industrie, quand un processus fonctionne mal, on le simplifie et on supprime les actions perturbatrices.
Dans l’administration, face au même problème, on rajoute des « interfaces ».
Cela a un double avantage :
- Ca permet aux chefaillons de revendiquer après leur passage plus de personnel qu’à leur entrée, ce qui justifie une évolution de carrière plus rapide.
- Ca crée de nouveaux dysfonctionnement que les générations furutres de chefs pourront traiter de la même manière
Quant à « qui va payer » : là, il n’y a pas de surprise. Les impôts sont un puit sans fond pour les politiciens sans idées.