Et pourtant il s’agit dans les deux cas d’une violation claire du principe de la territorialité des infractions.
Madame Dati est poursuivie au Maroc pour des actes commis en France alors qu’ils ne sont pas délictueux en France !
Ceci revient à dire que le droit marocain supplante le droit français en France quand il y a une infraction au droit marocain.
C’est juste comme le ministre pakistanais qui a mis à prix la tête de la personne qui aurait réalisé le film « innocence of muslims ».
Est ce que les rédacteurs de Charlie Hebdo se feraient arrèter s’ils allaient passer des vacances au Maroc pour une infraction non commise au Maroc ?
On est en droit de se le demander !