L’austérité est non seulement inacceptable sur le plan social, mais elle
ne permet pas de sortir de la crise : les revenus des ménages stagnent
ou baissent comme leur consommation ; les investissements des
entreprises sont au plus bas ; l’activité économique ralentit,
entraînant une baisse des recettes fiscales, d’où des difficultés
supplémentaires pour diminuer le déficit public, à l’opposé du but visé.
Les États empruntent alors aux marchés financiers, ce qui accroît
l’endettement et sert de prétexte à ces marchés pour exiger un nouveau
tour de vis. La règle qui oblige les États à se financer auprès des
marchés financiers, ce qui leur offre une rente sur un plateau, est un
pouvoir exorbitant, et doit être changée. Cette situation n’a rien
d’inéluctable, elle est le résultat des choix politiques qui ont été
faits pour la construction néolibérale de l’Europe..........
voir :
http://2ccr.unblog.fr/2012/09/27/tscg-non-a-l%E2%80%99austerite-a-vie/