Dans une petite ville de province, garé sur le trottoir par manque de place, mon épouse ne pouvant se déplacer sans canne et n’ayant pas encore sa carte d’invalidité, j’eus droit de la part d’un gendarme à une prune, dans un français approximatif et agrémentée de fautes d’orthographe. A la suite de quoi, je voulais apposer sur le pare-brise un mot ainsi rédigé : si avis de contravention il y a, prière de le rédiger en bon français et sans faute d’orthographe. Mon épouse m’en a dissuadé, ce serait de la provocation et amende supplémentaire.