Bonjour Fergus,
Je ne serais qu’un ingrat si je ne vous disais un grand merci pour ce florilège généreux. Je vais m’en coller plein les esgourdes.
Rassembler tout ça a dû être un travail de bénédictin ou d’amoureux fou de la chanson (ou les deux). « Longtemps, longtemps après que les poëtes ont disparu/ leurs chansons courent encore dans les rues. »
Mille cordialités