Le risque le plus grand, c’est de ne regrouper que RFF et SNCF infra, le tout au sein d’une grande holding « SNCF », quitte à privatiser tous les autres pans de cette nouvelle société un peu plus tard. C’est à dire "nationaliser les dettes (RFF et SNCF infra), et privatiser les bénéfices (TGV, TER, francilien, grandes ligne, etc.