C’est certain. D’ailleurs, tout mathématicien se pose un jour la question : mais que suis-je allé faire dans cette galère alors qu’il y avait plus de fric à se faire ailleurs, et sans se fatiguer à ce point ?
On essayera de (se) dire que le bénéfice est d’un autre ordre, et que normalement cela permet aussi de gagner sa vie. La philosophie est d’une aide sûre dans ces moments-là :))))