En juillet 1992, avec un Président « de gauche » et un gouvernement « de gauche », les indemnités chômage ont été rendues dégressives dans le temps, comme on veut à nouveau le faire aujourd’hui avec un Président « de gauche » et un gouvernement « de gauche ».
Merci les fonctionnaires, qui ont voté socialiste à plus de 70% pour la préservation de leurs privilèges, avec la bonne conscience de se prétendre « de gauche », merci les syndicats qui ne sont plus que des syndicats de fonctionnaires et ferment leur gueule quand on tape sur les salariés du privé.
Merci, au nom des pauvres, des précaires, des ouvriers et ouvrières d’usine au smic à Robert Gil, qui peut-être lui aussi se prétend de gauche, tout en touchant une confortable retraite ou un confortable traitement versé par l’état et prélevé sur ceux qui triment.
Merci encore !