J’ajoute un dernier point, pour Sirocco. Quand je parlais de « pays en trouble [...] infiltré », je pensais à la Syrie, pas à Bahreïn. Quoiqu’il en soit, je me suis sans doute mal exprimé puisque vous semblez avoir compris « dans le trouble CAR infiltré », alors que je voulais dire « dans le trouble DONC infiltré ». L’aspiration des Bahreïni aux changement est une chose, son exploitation par tous les autres pays en est une autre.