Le ton corrosif aurait selon moi plût à l’inspirateur de ce billet d’humeur que j’ai eu plaisir à lire.
Le choix de Danton, dans la conclusion, devenu sur la fin un parvenu corrompu n’est pas aussi judicieux que le reste.
Si nul n’est parfait, je pense qu’un simple Gavroche, tout galopin qu’il fut dans le roman d’Hugo illustrerait mieux une nouvelle école du peuple et du citoyen...