Le sens du mot « racisme » aujourd’hui n’est absolument pas celui du dictionnaire.
En tant que Français « de souche », descendant de ce pays, je choisi qui est le bienvenu et qui ne l’est pas pour s’installer chez moi. Le fait de refuser une immigration incontrôlée est devenue une définition du racisme. Je suis donc fatalement raciste selon cette supercherie.
Pourtant je n’ai aucun soucis de tolérance, et j’ai travaillé avec des immigrés, parmi lesquels je compte quelques amis. Bizarrement, la couleur de peau n’entre pas en ligne de compte, ni les préjugés habituels qu’on devrait rencontrer chez un authentique raciste.
Mais quand je me balade et que je constate des pans entiers du territoire totalement colonisés, sans Français, une France défigurée, et que je m’y oppose, là mystérieusement, je redeviens un « raciste ». Pourtant je n’avais pas cette sensation, lorsque j’habitais un ville sujette à une immigration modérée, conforme à la vision de Degaulle.
Le « racisme » aujourd’hui, c’est juste un mot piège-à-cons, manipulé par une bande d’assocs collabos adeptes de l’extrémisme migratoire. Une méthode d’anéantissement de la résistance française face à une immigration non voulue, génératrice des principaux problèmes de sécurité, et dont les traditions empiètent sur les nôtres et notre art de bien vivre.