Que la crise touche plutôt les hommes que les femmes n’est étonnant que pour l’auteur qui croit toutes les crétineries féminisites des médias comme quoi les femmes sont malheuresuses, opprimées, violées tout le temps. Mais pour les gens normaux qui ont encore un cerveau, nous sommes bien dans une société ultra-féminisé dont les hommes patissent.